Rencontre avec la journaliste Gulasal KAMOLOVA (Ouzbékistan) au Lycée Professionnel Charles de Gaulle de Paris (Île de France).
Cliquez ici pour lire l’article paru sur L’oeil de l’exilé, par Bernadette COLSON (18/01/2016)
Quelques retours des élèves participants à la rencontre :
«J’ai compris le risque du métier pour les journalistes. Ceci est vachement touchant. Ils n’ont pas mérite ça, ils se sont battus pour des bonnes choses et ils sont obligés de fuir parce qu’ils racontent la stricte vérité»
«Cela nous a appris qu’on a de la chance de vivre en paix et d’étudier en France car on a la liberté d’expression»
«J’aimerais dire aux journalistes exilés de ne pas craquer, de ne pas lâcher prise mais de garder cette magnifique volonté et rester forts car leur métier est indispensable. Je vous admire beaucoup et je vous souhaite tout le bonheur que vous méritez »
«C’est courageux de leur part de faire tout leur possible pour découvrir la vérité et en assumer les conséquences»
«Cela m’a permis de savoir ce que fait une journaliste et j’ai appris beaucoup de choses sur un nouveau pays et son histoire»
«Ce qui m’a frappé dans ce témoignage c’est qu’elle a ressenti, comment ça se passe dans son pays et comment le peuple ouzbek vit»
«La situation des journalistes en exil est compliquée, car c’est difficile de faire leur métier dans leur pays d’origine pour la cause démocratique»
«J’aimerais dire à Gulasal que je suis ravie de l’avoir rencontré, que je suis heureuse qu’elle est venue en France pour exercer son métier librement et que j’aimerais la revoir plus tard»
Ci-dessous la galerie photo :