Journalistes exilés et photographes de Magnum Photos croisent leurs regards pour raconter des expériences très personnelles autour des notions d’exil, d’accueil, de répression, de résistance, de succès ou d’échec.
Confirmer votre présence à l’Hôtel de Ville de Paris via ce formulaire :
Vitrolles (Provence-Alpes-Côte d’Azur), 28 novembre 2013
Rencontre avec Simon NKO’O MVONDO (Cameroun) au Lycée Polyvalent Mendes France de Vitrolles (Bouches-du-Rhône / Provence-Alpes-Côte d’Azur), 28 novembre 2013.
L’annonce sur La Provence, 16 novembre 2013
Reportage publié par La Provence, 5 décembre 2013
La MDJ présente aux Assises du journalisme 2013
Une délégation de la Maison des journalistes a été présente aux Assises du journalisme 2013 à Metz.
Le journaliste syrien, Mahmoud El Hajj, a témoigné de son parcours d’exil et de la situation actuelle de son pays devant la profession réunie aux à Metz. Il a pu échanger avec plusieurs groupes de jeunes étudiants en journalisme sur la situation de la presse en Syrie en général et des conditions de travail des journalistes.
Il était accompagné d’Albéric de Gouville, membre du conseil d’administration de la MDJ et rédacteur en chef à France 24 qui eu l’occasion de partager avec ses confrères l’expérience de la MDJ dans le cadre d’un hommage rendu aux 2 envoyés spéciaux assassinés au Mali et aux 4 journalistes français retenus en otage en Syrie.
Jean Mati, originaire du Congo RDC a participé au débat avec un grand nombre de jeunes collégiens et lycéens autour du thème: « Presse jeune, une autre façon de faire du journalisme? ».
Le site web officiel des Assises Internationales du Journalisme : www.journalisme.com/les-assises
OPINIONS : Prise de conscience sur le Bangladesh
La gestion du gouvernement a entraîné une grande crise économique au sein du pays.
Md. Rezaul Kabir, Blogueur et Journaliste
http://prothom-aloblog.com/blog/rezaulkabir
http://www.somewhereinblog.net/blog/rezaulkabir
http://rezaulkabir85fr.blogspot.fr/
Pour y rester, ils multiplient la pression sur le peuple en essayant de posséder des biens. Ils s’approprient le pouvoir, deviennent très puissants, pillent tout, transfèrent des biens nationaux aux mains des Etats impérialistes pour des profits personnels, importent en tuant l’économie et la production nationale, augmentent les prix – ce qui aggravent le problème de chômage – de façon continue depuis quarante-deux ans. Oui, la liste de leurs actes délibérés est longue !
Pourtant, aucun gouvernement qui soit patriotique et représentant du peuple n’a pu être mis en place. Ainsi, même si le pays dispose d’énormes capacités, le revenu moyen reste encore de 750 à 800 dollars. Les partis politiques qui détiennent une influence dans ce pays quêtent seulement le pouvoir mais pas le développement du pays. Ils cherchent leur bonheur personnel et pour ce, pillent la propriété du Bangladesh par l’assistance des maîtres impériaux. Leur plan : tirer profit au maximum des ressources minières de la patrie en exploitant le gaz et le charbon sous prétexte d’installer des centrales électriques. Leur profits s’avèrent équivalents ou supérieurs au budget de l’état. Ils continuent d’amasser les richesses du marché avec les groupes et banques puissants du pays qui « réquisitionnent » 17% du budget tel que le groupe ‘Hallmark & destiny’.
Mais en dépit de la baisse du prix du pétrole sur le marché mondial, le montant de cette denrée a augmenté au Bangladesh sous l’effet de la main de fer de l’Inde. La raison ? Le pétrole est kidnappé aux frontières.
Ils s’associent pour s’enrichir davantage. La victoire du peuple ne peut venir que de la révolte de milliers et de milliers de personnes contre ce monde corrompu.
Ils ne pensent ni au sol de la patrie, ni au peuple du pays ni aux générations futures. En revanche, comploter avec les maîtres de l’étranger pour mettre en place des centrales électriques paraît tout naturel. Ces mêmes centrales détruiront nos mangroves de Sundarbans et du Bangladesh dans son ensemble par l’exploitation des mines de charbon de Pulbari, causant d’énormes troubles humains et environnementaux.
L’honneur de la patrie leur est inconnue. Ils souillent le sens de la guerre d’indépendance. Pourtant, de nombreuses autres possibilités et alternatives existent pour un vrai développement du Bangladesh. Protégeons notre sol, notre peuple et notre environnement tout en construisant notre pays par la technologie et une vraie volonté politique. Luttons pour la liberté et le bonheur des personnes démunies.
La corruption doit disparaître de ce pays à jamais en renforçant le pouvoir politique populaire propre. Le peuple doit participer à son économie pour son propre intérêt. Le développement de l’industrie s’avère indispensable. La quasi-disparation du chômage également. Les propriétés nationales doivent être préservées et le plan de production d’énergies respecté pour la sécurité de l’environnement et des populations.
Pour finir, je dirais que notre devoir principal et suprême consiste à soutenir une politique réfléchie qui défend notre sol et sous-sol, l’environnement et les gens de ce pays. Notre politique doit penser à dépasser la crise de l’énergie en favorisant le développement des énergies renouvelables.
Prenons conscience des enjeux afin de sauver notre environnement pour l’intérêt de nos prochaines générations, de nos enfants.