Journalistes exilés et photographes de Magnum Photos croisent leurs regards pour raconter des expériences très personnelles autour des notions d’exil, d’accueil, de répression, de résistance, de succès ou d’échec.
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L’art au milieu du désastre: Muzaffar Salman expose à Bordeaux
Des photos de Muzaffar Salman, exposées à Bordeaux
L’art au milieu du désastre: la création syrienne s’expose près de Bordeaux, article publié par Liberation / AFP, le 24 janvier 2015
Dépeindre les horreurs de la guerre et montrer, malgré tout, l’importance de l’art au milieu du désastre: une quinzaine d’artistes contemporains syriens exposent jusqu’au 12 février à Cenon (Gironde) leur vision bouleversante d’une réalité terrifiante, la destruction de leur pays.
Intitulée «L’art en marche, artistes syriens d’aujourd’hui», l’exposition présente une soixantaine d’oeuvres – photographies, oeuvres numériques, dessins, peintures, vidéos – d’artistes de la nouvelle génération. Certains ont été contraints à l’exil et se sont dispersés dans différents pays d’Europe. D’autres vivent encore à Damas où ils tentent de continuer à créer, malgré un conflit qui a fait plus de 200.000 morts depuis 2011.
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Les images sont parfois brutes, telles celles du photojournaliste Muzaffar Salman, réalisées en 2013 à Alep, où les constellations d’étoiles et celles d’impacts de balles se répondent. «Je voulais montrer des gens en train de faire la révolution, des gens et des moments», raconte le photographe de 38 ans, aujourd’hui réfugié à la Maison des journalistes à Paris.
Cliquez ici pour lire l’article : L’art au milieu du désastre_ la création syrienne s’expose près de Bordeaux – Libération, le 24 janvier 2015
Cuba : La colère de l’exilé – Histoire de Jesús Zúñiga
Fidel Castro. L’album photos.
Par la rédaction du journal L’actu – La table ronde
La colère de l’exilé – Histoire de Jesús Zúñiga, journaliste cubain ancien résidente de la Maison des journalistes
« Pour avoir voulu informer les gens, c’est-à-dire » être journaliste, je suis un « dissident », un « ennemi de la révolution » : voilà le prix à payer à Cuba.» Le prix pour Jesús Zúñiga, aujourd’hui exilé en Franc, c’est de n’avoir vu ni sa femme ni sa fille depuis 2006. De ne leur parler au téléphone que «cinq minutes avant que les autorités cubaines ne coupent la ligne ».
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Prix Bayeux : rencontre avec la Maison des journalistes
Durant l’après-midi de samedi, René Dassié et Hamzeh Sadegh, 2 journalistes réfugiés à la Maison des journalistes ont témoigné de leurs experiences. Un moment très fort où chacun a exprimé la difficulté à renaitre dans un pays qui n’est pas le sien. […]
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