Journalistes exilés et photographes de Magnum Photos croisent leurs regards pour raconter des expériences très personnelles autour des notions d’exil, d’accueil, de répression, de résistance, de succès ou d’échec.
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Renvoyé Spécial au Lycée Villars de Gap (Provence-Alpes-Côte d’Azur)
Rencontre avec le journaliste Djibril SOW (Guinée Conakry) au Lycée D. Villars de Gap (Aix-Marseille / Provence-Alpes-Côte d’Azur), le jeudi 5 février 2015.
Cliquez ici pour lire l’article.paru dans le Dauphiné libéré, le dimanche 8 février 2015.
Ci-dessous le reportage diffusé par la radio Alpes 1 à propos de la venue du journaliste à Gap :
Renvoyé Spécial au Lycée Joseph Desfontaines / Melle (Poitou-Charentes)
Rencontre avec le journaliste Nabil SHOFAN (Syrie) au Lycée Joseph Desfontaines / Melle (Poitiers / Poitou-Charentes), le vendredi 6 février 2015.
Cliquez ici pour lire l’article paru dans La Nouvelle République.
Cliquez ici pour lire l’article de Gabrielle Plot rédigé pour le journal du Lycée : Recontre avec Nabil Shofan ou le prix de la liberté
L’art au milieu du désastre: Muzaffar Salman expose à Bordeaux
Des photos de Muzaffar Salman, exposées à Bordeaux
L’art au milieu du désastre: la création syrienne s’expose près de Bordeaux, article publié par Liberation / AFP, le 24 janvier 2015
Dépeindre les horreurs de la guerre et montrer, malgré tout, l’importance de l’art au milieu du désastre: une quinzaine d’artistes contemporains syriens exposent jusqu’au 12 février à Cenon (Gironde) leur vision bouleversante d’une réalité terrifiante, la destruction de leur pays.
Intitulée «L’art en marche, artistes syriens d’aujourd’hui», l’exposition présente une soixantaine d’oeuvres – photographies, oeuvres numériques, dessins, peintures, vidéos – d’artistes de la nouvelle génération. Certains ont été contraints à l’exil et se sont dispersés dans différents pays d’Europe. D’autres vivent encore à Damas où ils tentent de continuer à créer, malgré un conflit qui a fait plus de 200.000 morts depuis 2011.
[…]
Les images sont parfois brutes, telles celles du photojournaliste Muzaffar Salman, réalisées en 2013 à Alep, où les constellations d’étoiles et celles d’impacts de balles se répondent. «Je voulais montrer des gens en train de faire la révolution, des gens et des moments», raconte le photographe de 38 ans, aujourd’hui réfugié à la Maison des journalistes à Paris.
Cliquez ici pour lire l’article : L’art au milieu du désastre_ la création syrienne s’expose près de Bordeaux – Libération, le 24 janvier 2015