Journalistes exilés et photographes de Magnum Photos croisent leurs regards pour raconter des expériences très personnelles autour des notions d’exil, d’accueil, de répression, de résistance, de succès ou d’échec.
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Renvoyé Spécial au Lycée Victor Hugo de Poitiers (Aquitaine-Limousin-Poitou-Charentes)
Rencontre Renvoyé Spécial avec Raafat ALGHANEM (Syrie) au Lycée Victor Hugo de Poitiers (Poitiers), le vendredi 15 janvier.
Ci-dessous des commentaires des élèves :
Est-ce ce témoignage vous a été utile ? Pourquoi ?
« Cela m’a permis d’éclaircir ma vision du conflit syrien et d’enrichir mes connaissances personnelles. »
« Le témoignage m’a beaucoup touché par sa sincérité, et il permet de prendre conscience de la réalité, d’apprendre des choses par quelqu’un qui les a vécues. »
« Il permet de découvrir la situation réelle en Syrie, qui est différente de celle diffusée par les médias français. »
« Un témoignage authentique d’un journaliste confronté à des difficultés concrètes. »
Qu’est-ce que vous a frappé dans ce témoignage ?
« Ce qui m’a frappé sont la terreur et la violence présentes en Syrie, à la fois à cause du régime de Bachar-Al-Assad, que des groupes islamistes. »
D’après vous, quel est le rôle du journaliste aujourd’hui dans la société ?
« Les journalistes sont les intermédiaires entre les citoyens et la situation réelle qui a lieu dans le monde. »
« Informer, dénoncer, cultiver, mais surtout faire changer les choses. »
Pourquoi la liberté de presse est-elle importante dans une démocratie ?
« Elle permet d’offrir la parole à tous les citoyens et d’éviter de créer du disparités au sein de la population en évitant la montée de régimes autoritaires. »
« Les journalistes en exil sont contraints de vivre loin de leur famille, ils font des sacrifices et sont souvent traumatisés, ils trouvent refuge ici et leurs discours sont des preuves de leur courage. »
Qu’est-ce que vous aimeriez dire aux journalistes exilés ?
« Plus de gens devraient se battre pour leurs idées, pour le paix, et j’espère qu’ils verront qu’ils me se sont pas battus en vain. »
Cliquez ici pour lire deux comptes-rendus des élèves
Renvoyé Spécial au Lycée Jean Rostand de Chantilly (Amiens / Nord-Pas-de-Calais-Picardie)
Rencontre Renvoyé Spécial avec le journaliste Nabil SHOFAN (Syrie) au Lycée Jean Rostand de Chantilly (Amiens / Nord-Pas-de-Calais-Picardie), vendredi 11 décembre.
Ci-dessous quelques retours des élèves participants à l’événement :
« Je trouve que M Shofan nous a donné une nouvelle approche des différents conflits en Syrie. »
« Je trouve remarquable le courage des journalistes comme Nabil qui ont assumé leur métier et ont continué de l’exercer alors que les risques sont terribles. »
« La réalité est plus horrible et encore plus frappante que je ne le croyais. »
« Les journalistes exilés devraient être mieux intégrés à notre société et notamment dans les journaux et les médias nationaux. Ils pourraient nous apprendre davantage… »
« Je trouve que les journalistes en exil sont très courageux, car ils risquent leur vie pour pouvoir nous informer… »
« Les journalistes ont un rôle primordial dans la société aujourd’hui, pour faire régner la liberté d’expression, de penser, d’avoir ses opinions et pour tenir le peuple informé. »
« La liberté de la presse est importante dans quelles que soient les conditions. C’est elle qui forge les avis et permet la diversité. »
« Il ne faut pas perdre espoir et continuer à vous battre pour votre pays, votre liberté et pour avoir ce que vous voulez. »
« Le presse libre représente la liberté du peuple et la voix du peuple. Une démocratie ne peut exister sans une presse libre. »
« Bienvenue et on va vous aider. »
« Vous êtes indispensables. »
Cliquez ici pour lire l’article paru sur le blog du Lycée : http://rostand.lyc.ac-amiens.fr/
Cliquez ici pour lire l’article de Madison Nipps-Gros, élève de Section Internationale livrant ses impressions en anglais
Cliquez ici pour lire l’article de Marine Jean-Pierre, élève de Section Européenne, qui rapporte la rencontre dans un article en français
Le mot des migrants : l’oeil du réalisateur Wareth Kwaish, de Baghdad à Paris
Par Chayet Chienin / Fields Magazine, le 17 février 2016
Wareth Khwaish, est né à Bagdad, ses deux films, «Once they were here (Une fois ici-bas)» et «A Nation Without A Homeland» n’ont pas plu à des représentants du gouvernement et il a dû quitter son pays, l’Irak. Maintenant, accueilli à la Maison des journalistes à Paris, Wareth construit sa nouvelle vie.