Diane, journaliste burundaise en exil : « On ne m’a pas cousu la bouche »

Elle descend les escaliers quatre à quatre. Dans ses mains, du soda sans sucre et les restes d’un repas avalé en vitesse. « Désolée, je travaillais », nous glisset-elle pour expliquer son léger retard. Diane Hakizimana, 35 ans, ressemble à tous les autres journalistes de la planète. Elle mange sur le pouce et ne regarde jamais l’heure. Mais la comparaison s’arrête là. Car Diane, parce qu’elle a fait son travail, risque la mort si elle retourne dans son pays natal, le Burundi. […]

Interview parue sur Metronews édition Paris, le jeudi 2 juillet > par Anaïs Condomines

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