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L’Humanité
Hicham Mansouri journaliste « renvoyé spécial » du Maroc !
Par Eugénie BARBEZAT
A l’occasion de la semaine de la presse à l’école qui débute ce lundi, la Maison des journalistes s’associe au CLEMI pour que des journalistes en exil qu’elle accueille puissent témoigner de leur parcours auprès de lycéens, afin de les sensibiliser à la liberté d’expression et de la presse.
L’article entier à lire ici : L’Humanite, « Hicham Mansouri journaliste renvoyé spécial du Maroc ! » publié le 18 mars 2018 par Eugénie BARBEZAT
Les 1er et 2 mars a eu lieu la Convention nationale sur l’accueil et les migrations dans la ville de Grande-Synthe dans les Hauts-de-France. Plusieurs journalistes de la MDJ ont participé à cet événement qui pose la question de l’accueil des réfugiés.
La MDJ était représentée par six journalistes en exil : Halgurd SAMAD (Kurdistan), Hicham MANSOURI, Abdessamad AIT AICHA (Maroc), Larbi GRAINE (Algérie), Makaila NGUEBLA (Tchad) et Beraat GOKKUS (Turquie). Ci-dessous leurs rapports des ateliers auxquels ils ont participé durant la convention.
Parmi les thématiques abordées : « (Re)penser les hospitalités », « Comment rassembler élu.e.s, citoyens et acteurs associatifs ? » ou encore « Entre la légalité et la légitimité à agir, comment assumer nos responsabilités collectives ? ».
Cliquez ici pour lire l’article de Beraat GOKKUS
Une Voix forte s’est élevée au Nord ! « I AM A REFUGEE »
(L’œil de l’exilé, le 7 mars 2018)
Ci-dessous les retours de nos intervenants :
Hicham MANSOURI, Atelier 1 : Accueil et règlement de Dublin
Beraat GOKKUS Atelier 3 : (Re) penser les hospitalités : initiatives d’elu.e.s
Larbi GRAINE, commentaire en marge de la convention
« Attendez, je vais ouvrir la fenêtre, ça sent trop la cigarette, désolé ». Hicham, trentenaire aux fines lunettes, originaire du Maroc, nous accueille dans sa chambre, un soir d’automne, au deuxième étage de la Maison des journalistes. Un lit, une penderie, un petit bureau avec un PC et une pile de journaux.
L’article en entier : La chronique d’Amnesty International n°375, France | Quartier Libre : Une maison accueille à Paris des journalistes fuyant leur pays, publié en février 2018 par Lucas Chedeville
Le jeudi 18 janvier, le journaliste syrien exilé Raafat AL-GHANEM a été accueilli au lycée Aristide Briand d’Evreux dans l’académie de Rouen. Dans la cadre de l’opération Renvoyé Spécial, des lycées de seconde et de terminale ES, L et STMG, accompagnés de leurs professeurs Lucille ANGIBOUST et Katia BOUCHEZ, ont pu échanger avec le journaliste sur la situation de la Syrie, la liberté de la presse dans ce pays et dans le monde, ainsi que sur son parcours en tant que professionnel de l’information en exil.
Revue de presse :
Paris-Normandie.fr, Un journaliste syrien en exil devant des lycéens d’Évreux publié le 19.01.2018
D’autres publications sont à venir.
Les réactions des élèves :
Est ce que ce témoignage vous a été utile ?
« Oui, instructif et poignant. »
Qu’est ce qui vous a frappé dans ce témoignage ?
« Ce qui m’a frappé, c’est la banalisation des tortures et des viols dans le discours de l’intervenant qui a vécu dans un pays en guerre. »
Quelle est votre avis sur la situation des journalistes en exil?
« C’est une excellente chose que des journalistes puissent s’exprimer sans soucis de censure ou pire ( prison, mort) et bénéficient d’une protection et des droits fondamentaux de l’être humain. »
Qu’est ce que vous aimeriez dire aux journalistes exilés?
« On est avec vous. »
Hicham MANSOURI, journaliste marocain en exil et résident à la MDJ, a répondu aux questions d’Aline NOËL pour le mensuel Profession Education du Sgen-CFDT (n. 257 – Novembre 2017), syndicat de l’éducation nationale partenaire de la MDJ.
Hicham Mansouri
« Le citoyen a une arme dans sa poche : le smartphone »
Dans les pays en guerre ou sous régime autoritaire, un journalisme dit citoyen émerge grâce aux nouvelles technologies. Journaliste d’investigation, Hicham Mansouri a contribué à former des concitoyens à l’utilisation de l’application StoryMaker, ce qui a nourri l’accusation portée contre lui par les autorités marocaines d' »atteinte à la sécurité intérieure de l’Etat ».