ralRencontre avec le journaliste Raafat ALGHANEM (Syrie) au Lycée Edouard Branly de Châtellerault (Poitiers / Poitou-Charentes), le jeudi 14 janvier 2016.
Cliquez ici pour télécharger l’article paru sur La Nouvelle République, le 15 janvier 2016

Ci-dessous la vidéo par lanouvellerepublique : « Châtellerault : un journaliste syrien raconte la torture »

VIDEO. Châtellerault : un journaliste syrien… par lanouvellerepublique

photo00005Rencontre avec la journaliste Gulasal KAMOLOVA (Ouzbékistan) au Lycée Professionnel Charles de Gaulle de Paris (Île de France).

Cliquez ici pour lire l’article paru sur L’oeil de l’exilé, par Bernadette COLSON (18/01/2016)

Quelques retours des élèves participants à la rencontre :
«J’ai compris le risque du métier pour les journalistes. Ceci est vachement touchant. Ils n’ont pas mérite ça, ils se sont battus pour des bonnes choses et ils sont obligés de fuir parce qu’ils racontent la stricte vérité»
«Cela nous a appris qu’on a de la chance de vivre en paix et d’étudier en France car on a la liberté d’expression»
photo00003«J’aimerais dire aux journalistes exilés de ne pas craquer, de ne pas lâcher prise mais de garder cette magnifique volonté et rester forts car leur métier est indispensable. Je vous admire beaucoup et je vous souhaite tout le bonheur que vous méritez »
«C’est courageux de leur part de faire tout leur possible pour découvrir la vérité et en assumer les conséquences»
«Cela m’a permis de savoir ce que fait une journaliste et j’ai appris beaucoup de choses sur un nouveau pays et son histoire»
«Ce qui m’a frappé dans ce témoignage c’est qu’elle a ressenti, comment ça se passe dans son pays et comment le peuple ouzbek vit»
«La situation des journalistes en exil est compliquée, car c’est difficile de faire leur métier dans leur pays d’origine pour la cause démocratique»
«J’aimerais dire à Gulasal que je suis ravie de l’avoir rencontré, que je suis heureuse qu’elle est venue en France pour exercer son métier librement et que j’aimerais la revoir plus tard»

Ci-dessous la galerie photo :

dianehaRencontre avec la journaliste Diane HAKIZIMANA (Burundi) au Lycée Alain de Alençon (Caen / Normandie), le vendredi 18 décembre.

Cliquez ici pour télécharger l’article paru sur Tendance Ouest, le 18 décembre.

(Pour écouter les interview audio, cliquez ici)

Cliquez ici pour télécharger l’article paru sur Ouest France, le 18 décembre.

Ci-dessous des retours des élèves qui ont participé à la rencontre :

« Ce qui m’a frappé, c’est les violences que certaines personnes font à d’autres, ça fait un peu penser à la seconde guerre mondiale avec les nazis qui martyrisaient les juifs mais dans un pays plus petit »

« Pour moi, les journalistes aujourd’hui nous aident à comprendre la société, car ils n’existaient pas, personne ne serait au courant de ce qui se passe à l’autre bout du monde ».

« La liberté de la presse permet de ne pas laisser la propagande dans un pays et d’éviter l’instauration d’une dictature, d’une tyrannie ».

« J’aimerais dire à Diane Hakizimana et à tous les journalistes en exil que le plus important c’est de rester fort face à ces personnes qui ruinent la vie d’un pays et de continuer à dire la vérité tout en faisant attention à sa vie et à celle des autres ».

« Le témoignage de Diane m’a beaucoup touché, en particulier certaines situations vécues par la journaliste, parfois choquantes…On ne peut pas imaginer que des milliers de personnes vivent dans la peur et la torture ».

« Le rôle du journaliste est d’informer le reste de la population de ce qui se passe dans le monde tout en gardant ses valeurs à l’esprit ».

« La liberté de la presse est importante car elle permet de dénoncer, elle est une des plus grandes valeurs de la démocratie ».

 

Le plus parlant reste la carte sur la liberté de la presse en 2015 éditée par Reporters sans frontières.? - Photo M. D.

Le plus parlant reste la carte sur la liberté de la presse en 2015 éditée par Reporters sans frontières. – Photo M. D.

Rencontre avec la journaliste Yvette MUREKASABE (Burundi) au Lycée Sidoine de Clermont-Ferrand (Clermont-Ferrand / Auvergne), le jeudi 10 décembre.

Cliquez ici pour télécharger l’article rédigé par les élèves.

Ci-dessous quelques retours des élèves qui ont participé à la rencontre :
«Nous sommes informés de la situation du Burundi grâce à l’intervention de la journaliste Yvette Murekasabe»
«J’ai pris conscience des conditions très difficiles des journalistes au Burundi; ils doivent s’exiler »
«Je pense qu’on est très peu informé de ce qui se passe dans d’autres pays du monde»
«Les journalistes devraient travailler librement pour informer les populations surtout dans des pays comme le Burundi. »
«Le rôle d’un journaliste est très important et je trouve que les journalistes burundais sont courageux»
«Yvette Murekasabe est très courageuse, il a traversé des moments très durs avant de quitter son pays et maintenant elle doit vivre loin de sa famille»
«En France nous avons la chance de vivre d’un état de droit et des libertés»
«La liberté d’expression et la liberté de la presse devraient être respectées partout»
«C’est regrettable ! Les violations de droits des droits de l’homme sont flagrantes au Burundi»

Ci-dessous un reportage radio sur NRJ dont vous trouverez deux extraits audio :

 

Cliquez ici pour télécharger l’article paru sur la Montagne, le 11-12-2015.

IMG_6419Rencontre avec le journaliste Mohmed AL ASBAT (Soudan) au Lycée Nicolas Appert de Orvault (Nantes / Pays de la Loire), lundi 14 décembre.

C-dessous des retours des élèves participants à la rencontre :

« Ça nous permet de se rendre compte de la situation au Soudan avec des anecdotes. C’est plus intéressant qu’en lisant des documents. »

« J’espère qu’ils [journalistes en exil ndr] retrouveront un jour leur famille et leurs amis qu’ils ont dû quitter. »

« J’ai appris que le journaliste doit montrer la beauté de son pays et continuer de la défendre chaque jour. »

« La liberté de presse est importante car elle permet de s’exprimer et de s’informer librement. »

« J’aimerais leur dire [aux journalistes exilés ndr] de ne pas baisser les bras et de continuer à se battre. »

« J’aimerais leur [aux journalistes exilés ndr] tirer mon chapeau car ils n’ont pas peur des sanctions qu’ils peuvent subirent dans leurs pays en exerçant le métier de journaliste. »

Ci-dessous la galerie photo de l’événement.

Mortaza Behboudi (6)Rencontre avec le journaliste Mortaza BEHBOUDI (Afghanistan) au Lycée Paul Duez de Cambrai (Lille / Nord-Pas-de-Calais), mardi 15 décembre.

Cliquez ici pour lire l’article paru sur La Voix du Nord, le 20-12-2015

Cliquez ici pour lire l’article paru sur le site du Lycée 

Cliquez ici pour lire l’article paru sur Le Hublot

Ci-dessous quelques commentaires des élèves :

« J’aimerais lui dire merci pour avoir choisi d’exercer ce métier malgré les difficultés qu’il comporte, merci pour avoir contribué, ou pour avoir essayé de permettre la mise en place d’un vrai système, un vrai état où les droits de l’Homme sont respectés. Merci d’avoir aidé à la création d’un monde meilleur. »

« Cet homme nous a montré à quel point nous sommes chanceux de vivre dans un pays où on a des libertés, des droits comme la liberté d’expression, le droit de vote des femmes »

« J’ai été choquée par le fait qu’il y ait deux présidents dans un même pays et surtout par le fait que le peuple-même considère leur pays réellement dirigé par deux présidents »

« J’ai été frappée par le fait que la liberté de la presse est très très limitée en Afghanistan…Entendre la vie de Mortaza Behboudi était vraiment très intéressant car il a vécu des choses incroyables »

« La liberté de la presse est importante dans une démocratie parce qu’elle permet aux habitants d’un pays de s’informer le plus possible afin de créer sa propre opinion. la liberté d’expression et la liberté de la presse sont indispensables pour qu’un pays soit une démocratie »

 

Ci-dessous la galerie photo de l’événement.