12642968_10208611549587139_4787788449594085927_nRencontre avec le journaliste Mohmed ALASBATT (Soudan) au Lycée général et technologique Don Bosco de Nice (Provence-Alpes-Côte d’Azur), le vendredi 29 janvier.

b7ab38894ea6a169973c6df71666b9«La rencontre avec Monsieur Alasbatt a dépassé nos attentes par le récit de ses expériences et la richesse de ses propos. Ils ont suscité réflexion et admiration chez nos élèves. Au delà d’une rencontre avec un journaliste, c’est aussi une rencontre avec une belle personne pleine de générosité, de courage et de détermination. Nous souhaitons à la Maison du journalistes et à Monsieur Alasbatt une belle continuation. […] La semaine de la presse en mars sera l’occasion pour nos élèves de revenir sur ce temps fort avec Monsieur Alasbatt et d’organiser une exposition au CDI autour de la liberté de la presse. Par cette rencontre et les réflexions qu’elle génère, nous espérons vraiment aider nos élèves à devenir des citoyens responsables».

Delphine DELARUELLE et Olivier FEUGERE, enseignants du lycée Don Bosco

imgp1555Cliquez ici pour télécharger l’article publié sur http://www2.ac-nice.fr/, le 17 décembre 2015.

Cliquez ici pour télécharger l’article publié sur http://www.fondation-donbosco.fr/, le 1er février 2016.

Cliquez ici pour lire l’article paru sur Nice Matin, le 4 février 2015

 

 

Ci-dessous la vidéo réalisée par le CDI du Lycée Don Bosco :

 

mani

Rencontre avec le journaliste Khosraw MANI (Afghanistan) au LGT Blaise Pascal de Forbach (Nancy-Metz / Alsace), le mardi 26 janvier 2016.

Ci-dessous des retours des élèves après la rencontre :

« La liberté de la presse est importante dans une démocratie car on a le droit de s’exprimer que cela plaise ou pas aux autres ».

« La liberté de la presse est aussi importante dans une démocratie que la liberté d’expression. Elle est fondamentale car elle nous permet de nous créer notre propre opinion sur le monde ».

« Le témoignage de Khosraw Mani est un témoignage touchant et bouleversant qui a frappé les esprits. Il nous a apporté de nombreuses connaissances ».

« Que les journalistes restent aussi courageux, qu’ils ne perdent pas espoir – grâce à eux on est intéressés par leur métier.  Qu’ils continuent à se battre pour la liberté ».

Cliquez ici pour lire l’article publié par Le Républicain lorrain, le mercredi 27 janvier 2016

Crédits Photo RL/Philippe RIEDINGER

Cette année, la Maison des journalistes lance le projet Renvoyé Spécial PJJ en partenariat avec le Ministère de la Culture et de la Communication et le Ministère de la Justice. L’objectif est d’amener les jeunes placés sous protection judiciaire à mieux comprendre le monde qui les entoure et les sensibiliser à la tolérance, au vivre ensemble, à la liberté d’expression.
Un kit pédagogique est mis à disposition des professionnels et des jeunes. Il comprend des documents interactifs accessibles à partir du site internet de la Maison des journalistes et des supports matériels (exposition, cartes de la situation de la presse, films documentaires etc). Tous ces outils permettront aux formateurs des structures de la PJJ d’ouvrir un dialogue constructif et objectif avec les jeunes sur des questions de société actuelles et sur la situation des journalistes dans le monde. Cela sera également un moment de partage ludique dont la finalité est l’éveil de la conscience citoyenne. Ce kit pédagogique est constitué par grands dossiers thématiques :
1. Le journalisme et la liberté d’expression
2. La vie en exil
3. La tolérance et la laïcité
10
Le mercredi 20 janvier 2016, une délégation du Ministère de la Culture et de la Communication et du Ministère de la Justice a assisté à la présentation du kit pédagogique à la MDJ :
Mme Maryline LAPLACE, chef du service de la coordination des politiques culturelles et de l’innovation,
Mme Ariane SALMET, chef du département de l’éducation et du développement artistiques et culturels,
M. Nicolas MERLE, chargé de mission, département de l’éducation et du développement artistiques et culturels
Mme Catherine SULTAN, Directrice de la Protection judiciaire de la jeunesse.
Virginie KALIFA, directrice du pôle politiques publiques et du partenariat de la PJJ
Caroline HERBAUT, rédactrice en charge de la culture
Pauline GUILLOT, service communication

 

ralRencontre avec le journaliste Raafat ALGHANEM (Syrie) au Lycée Edouard Branly de Châtellerault (Poitiers / Poitou-Charentes), le jeudi 14 janvier 2016.
Cliquez ici pour télécharger l’article paru sur La Nouvelle République, le 15 janvier 2016

Ci-dessous la vidéo par lanouvellerepublique : « Châtellerault : un journaliste syrien raconte la torture »

VIDEO. Châtellerault : un journaliste syrien… par lanouvellerepublique

photo00005Rencontre avec la journaliste Gulasal KAMOLOVA (Ouzbékistan) au Lycée Professionnel Charles de Gaulle de Paris (Île de France).

Cliquez ici pour lire l’article paru sur L’oeil de l’exilé, par Bernadette COLSON (18/01/2016)

Quelques retours des élèves participants à la rencontre :
«J’ai compris le risque du métier pour les journalistes. Ceci est vachement touchant. Ils n’ont pas mérite ça, ils se sont battus pour des bonnes choses et ils sont obligés de fuir parce qu’ils racontent la stricte vérité»
«Cela nous a appris qu’on a de la chance de vivre en paix et d’étudier en France car on a la liberté d’expression»
photo00003«J’aimerais dire aux journalistes exilés de ne pas craquer, de ne pas lâcher prise mais de garder cette magnifique volonté et rester forts car leur métier est indispensable. Je vous admire beaucoup et je vous souhaite tout le bonheur que vous méritez »
«C’est courageux de leur part de faire tout leur possible pour découvrir la vérité et en assumer les conséquences»
«Cela m’a permis de savoir ce que fait une journaliste et j’ai appris beaucoup de choses sur un nouveau pays et son histoire»
«Ce qui m’a frappé dans ce témoignage c’est qu’elle a ressenti, comment ça se passe dans son pays et comment le peuple ouzbek vit»
«La situation des journalistes en exil est compliquée, car c’est difficile de faire leur métier dans leur pays d’origine pour la cause démocratique»
«J’aimerais dire à Gulasal que je suis ravie de l’avoir rencontré, que je suis heureuse qu’elle est venue en France pour exercer son métier librement et que j’aimerais la revoir plus tard»

Ci-dessous la galerie photo :