« Cette rencontre a été très importante pour moi. Elle m’a permit de connaitre la réalité de l’Afghanistan d’un témoin direct des conflits qui le traversent ».

 

Mortaza Behboudi avec les élèves du Lycée Jeanne-Hachette de Bouvais © Mortaza Behboudi

Mortaza Behboudi avec les élèves du Lycée Jeanne-Hachette de Bouvais © Mortaza Behboudi

 

Le 2 juin 2017 les élèves de Seconde du Lycée Jeanne-Hachette de Beauvais (Académie d’Amiens) ont rencontré le journaliste afghan Mortaza Behboudi dans le cadre de l’opération Renvoyé Spécial. Pendant toute la matinée, les élèves ont échangé avec le jeune journaliste âgé de 23 ans. Ce moment a été l’occasion pour les élèves de discuter sur des thèmes tels que la liberté de la presse, la guerre en Afghanistan et la démocratie. La discussion s’est poursuivie sur la notion de journalisme engagé et sur les expériences journalistiques de Mortaza Behmoudi.

Une rencontre enrichissante comme en témoignent les retours des élèves ci-dessous:

« Malgré son jeune âge, Mortaza a un parcours incroyable, il a su surmonté toute difficulté ».

« Le pluralisme des idées est indispensable pour que les peuples soient libres ».

« Après cette rencontre, j’ai compris que le rôle des journalistes est d’enquêter et de transmettre des vrais informations aux citoyens ».

« Mortaza m’a frappé pour son intérêt pour les langues et pour sa vision du monde. Les difficultés qu’il a rencontré l’ont aidé à grandir ».

« Le démocratie est basées sur la liberté, que ce soit la liberté d’expression au la liberté de la presse. Garantir ces droits est fondamentale pour un Etat qui se dit civile ».

 

Lisez l’article du Courrier Picard en cliquant ici

 

« Après avoir rencontré le journaliste Mohmed Al-Asbat  j’ai compris que la démocratie ne peut pas être sans liberté de la presse ».

Le journaliste soudanais Mohamed Al-ASBATT au Lycée E. Schuré de Barru © Frédéric MALIE

Le journaliste soudanais Mohmed Al-ASBAT au Lycée E. Schuré de Barr © Frédéric MALIE

Jeudi 27 avril 2017, le journaliste Mohmed Al-Asbat a rencontré les élèves du Lycée E. Schuré de Barr (Académie de Strasbourg) dans le cadre de l’opération Renvoyé spécial. Les élèves se sont montrés très enthousiastes à l’idée d’échanger avec le journaliste soudanais sur des sujets tels que la liberté de la presse et le contexte politique au Soudan.

Durant plusieurs heures, Mohmed Al-Asbat a raconté aux élèves son histoire personnelle et professionnelle, en leur expliquant les difficultés qu’il rencontrait au quotidien dans l’exercice de sa profession, les menaces qu’il a subies, mais également l’histoire de l’État soudanais. L’occasion pour beaucoup de rencontrer pour la première fois un témoin direct des conflits qui déchirent le territoire du Soudan depuis des années.

Une rencontre qui a marqué les lycéens de Barr et a permis d’enrichir leur réflexion à en croire leurs retours : 

« Ce témoignage m’a appris beaucoup de choses sur la situation politique soudanaise »

« Ce qui m’a frappé c’est le combat de ce journaliste pour la liberté de la presse »

« Je voudrais dire aux journalistes exilés que je les admire pour leur détermination. Ils sont des exemples »

« La violence des militaires au Soudan est horrible »

« La liberté de la presse est fondamentale car elle permet aux journalistes d’informer les citoyens »

Le journaliste soudanais Mohamed Al-ASBATT au Lycée E. Schuré de Barru © Frédéric MALIE

Le journaliste soudanais Mohmed Al-ASBAT au Lycée E. Schuré de Barr © Frédéric MALIE

« Ce qui m’a frappé le plus dans ce témoignage c’est la violence infligée au peuple burundais  ». Le jeudi 6 avril 2017, les élèves de Seconde 6 du Lycée Juliot-Curie de Romilly-sur-Seine (Académie de Reims) accompagnés par  leur professeur d’histoire-géographie et éducation civique, Yannick Rioualen, ont rencontré la journaliste burundaise Diane Hakizimana dans le cadre de l’opération Renvoyé Spécial. 

Les Seconde 6 à la rencontre d’une journaliste burundaise réfugiée politique © L'Est Eclair

Les Seconde 6 à la rencontre d’une journaliste burundaise réfugiée politique © L’Est Eclair

Travaillant au Burundi en tant que journaliste-reporter et présentatrice à la radio et à la télévision, Diane Hakizimana a parlé de la situation politique et économique de son pays, mais surtout des conflits frappant le pays depuis son indépendance en 1962. Les étudiants ont pu échanger avec la journaliste burundaise sur son expérience de journaliste dans un pays classé 160/180 dans le classement de 2017 de Reporters sans frontières.

Une rencontre spéciale qui a marqué les esprits des jeunes élèves, à en croire leurs retours enthousiastes:

« J’ai appris plein de choses sur le Burundi et sur les conditions des journalistes dans ce pays  ».

« La liberté de la presse est fondamentale dans une démocratie  ».

« La situation des journalistes au Burundi est extrêmement difficile, ils sont souvent obligés de quitter leur pays pour sauver leur vie ».

« Le rôle des journalistes est d’informer la population des actions commises par l’Etat ».

« J’aimerais dire à tous les journalistes exilés de ne jamais abandonner leur combat et de toujours continuer d’être des voix critiques pour tout les gens qui n’ont pas la possibilité de dénoncer les injustices ».

« Le métier de journaliste est fondamentale pour que les citoyens puissent voter avec conscience ».

Veuillez retrouver le reportage de Canal32 en cliquant sur l’image ci-dessous:

 

 

 

 

 

 

« Je pense que l’accueil de la Maison des journalistes donne aux journalistes  exilés une grande aide, car il faut que tout le monde ait le droit de s’exprimer ». Rencontre Renvoyé spécial avec le journaliste Shiyar Khaleal au Lycée Max Linder  de Libourne (Académie de Bordeaux), le mercredi 5 avril 2017.  

 

Renvoyé Spécial Shiyar KHALEAL au Lycée Max Linder à Libourne © Shiyar KHALEAL

Renvoyé Spécial Shiyar KHALEAL au Lycée Max Linder à Libourne © Shiyar KHALEAL

 

Les élèves de Première et  leurs professeurs référents, Laurent Despin et Céline Sellier, ont pu échanger avec le journaliste kurde-syrien sur la guerre en Syrie et sur son expérience d’exil. Ce moment a été l’occasion pour beaucoup d’entre eux de découvrir le contexte historique et les évolutions du conflit syrien de vive voix par Shiyar Khaleal. Le journaliste expliquant les raisons de son engagement humain et professionnel dans son pays, il a pu également discuter avec les élèves des concepts de liberté d’opinion et de la presse, sur la définition des principes de la démocratie, de l’opposition et de la désobéissance civile.

 

Renvoyé spécial : Shiyar KHALEAL au Lycée Max Linder à Libourne © Shiyar KHALEAL

Renvoyé spécial : Shiyar KHALEAL au Lycée Max Linder à Libourne © Shiyar KHALEAL

 

Les élèves se sont montrés très intéressés au contexte syrien et ont posé beaucoup de question à Shiyar Khaleal.

« Lorsque Shiyar Khaleal nous a parlé de son arrestation, de ce que qu’il a vécu, de la torture qu’il a subi, tout ça m’a profondément frappé ».

« La Maison des journalistes apporte une grande aide aux journaliste en exil, c’est un modèle pour la liberté d’information ».

« Les journalistes ont un rôle très important dans notre société, ils ont la tâche de nous raconter ce qui se passe autour de nous ».

« On a appris beaucoup de choses sur la Syrie avec un point de vue différent de celui des médias traditionnels ».

« Je voudrais dire à Shiyar et à tous les journalistes exilés qu’ils sont des personnes admirables qui se battent pour leur liberté et pour la liberté de leur concitoyens ».

« La liberté de la presse n’est pas seulement une liberté mais également un droit. Grâce à elle nous pouvons nous construire notre propre avis sur les sujets d’actualité et sur des sujet politiques et sociétaux».

Renvoyé spécial : Shiyar KHALEAL au Lycée Max Linder à Libourne © Shiyar KHALEAL

Renvoyé spécial : Shiyar KHALEAL au Lycée Max Linder à Libourne © Shiyar KHALEAL

 

 

 

 

 

 

« C’est une très belle leçon de vie, Samad est un journaliste très courageux, il est un exemple pour moi !  ». Rencontre Renvoyé Spécial avec le journaliste marocain Samad Ait Aicha au Lycée Saint Jacques de Compostelle de Dax (Académie de Bordeaux), le lundi 3 avril 2017.

 

Les élevè du Lycée Saint Jacques de Compostelle de Dax © Cécile CASSAIGNE

Les élèves du Lycée Saint Jacques de Compostelle de Dax © Cécile CASSAIGNE

 

Pendant toute la matinée, les élèves de Première ES  du Lycée Saint Jacques de Compostelle de Dax (Académie de Bordeaux), ont pu échanger avec le journaliste Samad Ait Aicha.  Ce moment a été l’occasion pour les élèves de découvrir l’expérience d’un journaliste en exil et d’échanger avec lui sur l’histoire de son pays. Journaliste d’investigation au Maroc, Samad Ait Aicha a beaucoup travailler sur la démocratisation des voies d’information et la formation des citoyens aux problématiques du journalisme citoyen, notamment grâce à l’application gratuite Storymaker. De surcroît, les élèves ont également pu questionner Samad Ait Aicha  sur le sens de la liberté d’expression et de la presse, du respect des minorités et de la tolérance aujourd’hui au Maroc.

 

Les élevè du Lycée Saint Jacques de Compostelle de Dax © Cécile CASSAIGNE

Les élevè du Lycée Saint Jacques de Compostelle de Dax © Cécile CASSAIGNE

Une rencontre enrichissante comme en témoignent les retours des élèves ci-dessous : 

« Cette rencontrem’a permis d’en apprendre plus sur le métier de journaliste dans un pays sous dictature »

« Un journaliste est un messager de la vérité, chargé dans la transmettre aux populations ».

« La liberté de la presse est le moteur de l’opinion publique. Sans elle la démocratie devient un régime tyrannique ».

« J’aimerais lui souhaiter bonne courage pour son avenir ».

« Samad m’a appris que la situation de la liberté de la presse au Maroc est très compliquée et délicate ».

« La liberté de la presse est importante dans une démocratie car elle est à la base ».

Retrouvez la description de cette rencontre rédigée par les élèves de 1ES du Lycée Saint Jacques de Compostelle de Dax ici au format pdf.

Samad AIT AICHA © Cécile CASSAIGNE

Samad AIT AICHA © Cécile CASSAIGNE

«Après cette rencontre avec Ahmad Basha, j’ai compris l’importance du journalisme et de la liberté d’expression. Je ne savais pas que la guerre en Syrie avait causé autant de morts et de déplacés. C’est terrible!».

Le journaliste syrien Ahmad BASHA devant les élèves de TCI du Lycée professionnel Aristide Briand du Blanc-Mesnil ©Stefano LORUSSO

Le journaliste syrien Ahmad BASHA devant les élèves de TCI du Lycée professionnel Aristide Briand du Blanc-Mesnil ©Stefano LORUSSO

Mercredi 24 mai 2017, les élèves de la classe de TCI du Lycée Professionnel Arisitide Briand du Blanc-Mesnil (Saint-Saint Denis), accompagnés par leurs professeurs Matthieu Cassina, Raphaele Besnainou et par la médiatrice culturelle Marine Armbruster, ont rencontré le journaliste syrien Ahmad Basha à l’occasion de l’opération Renvoyé spécial Île de France (IDF).

Durant plus de deux  heures, les lycéens ont échangé avec le journaliste et partagé son parcours professionnel et humain à travers la Syrie, le Liban, avant son exil vers la France. L’opération Renvoyé spécial a été la première occasion pour les lycéens de rencontrer un témoin direct de la guerre qui touche la Syrie depuis six ans.

Les lycéens ont pu questionner le journaliste syrien sur les origines historiques et sur les acteurs du conflit syrien, tout en lui posant des questions plus personnelles concernant son exil et sa vie aujourd’hui en France.

Le journaliste syrien Ahmad Basha - © Stefano LORUSSO

Le journaliste syrien Ahmad BASHA © Stefano LORUSSO