[PORTRAIT] Mamadou se définit comme «destiné à faire du journalisme». Cette passion anime ce jeune homme de 34 ans, né en Guinée Conakry et arrivé à la Maison des journalistes après plusieurs années de voyage qui le mène en France. Mamadou m’accueille avec un grand sourire. Il raconte son histoire avec des anecdotes et une certaine éloquence. Jusqu’au moment où sa parole ralentit puis s’arrête, laissant place aux souvenirs qui ne s’expriment plus par des mots…
[PORTRAIT] Le jeune homme qui vient à ma rencontre dans le hall de la Maison des Journalistes est radieux. Tasse de thé fumante dans une main et tongs aux pieds malgré les températures glaciales de l’automne parisien, un doux sourire illumine son visage. Poli, Mohammed s’excuse pour sa douzaine de secondes de retard.
[PORTRAIT] Comme beaucoup de ses confrères, Mahamat n’a pas eu d’autre choix que de mettre ses compétences de journaliste au service du régime dictatorial tchadien. Mais une fois sa rédaction quittée, le jeune homme enquête sur les massacres perpétrés dans son pays.
[PORTRAIT] Comme beaucoup de ses confrères, Mahamat n’a pas eu d’autre choix que de mettre ses compétences de journaliste au service du régime dictatorial tchadien. Mais une fois sa rédaction quittée, le jeune homme enquête sur les massacres perpétrés dans son pays.
[PORTRAIT] Comme beaucoup de ses confrères, Mahamat n’a pas eu d’autre choix que de mettre ses compétences de journaliste au service du régime dictatorial tchadien. Mais une fois sa rédaction quittée, le jeune homme enquête sur les massacres perpétrés dans son pays.
[PORTRAIT] Comme beaucoup de ses confrères, Mahamat n’a pas eu d’autre choix que de mettre ses compétences de journaliste au service du régime dictatorial tchadien. Mais une fois sa rédaction quittée, le jeune homme enquête sur les massacres perpétrés dans son pays.