Liberté – Egalité (4/4) : « Erythrée : Biniam, la voix de la liberté » est le documentaire de Léonard Vincent et Christine Robert sur Simon Biniam, journaliste Erythréen en exil, ancien résident de la MDJ.
La MDJ remercie la Fondation ManPower Group pour l’emploi pour le don de matériels informatiques (15 mai 2013).
Du 3 mai au 7 octobre 2011, la Maison des Journalistes, soutenue par la Fondation Varenne, a organisé une exposition de dessins de presse sur le thème de l’exil, en partenariat avec la Mairie de Paris. Quarante dessinateurs du monde entier ont adhéré au projet, sous l’impulsion de Kianoush Ramezani, dessinateur de presse iranien, pour revisiter par l’illustration les problématiques de liberté d’expression, d’intégration, de xénophobie et de liberté de la presse.Les œuvres de l’exposition ont été regroupées dans un catalogue au prix de 20 euros, disponible à la Maison des Journalistes, dont les bénéfices permettent de soutenir les journalistes en exil.
Pour permettre à un public plus large de profiter de cet projet, cette exposition est devenue itinérante. A l’occasion de la rencontre publique sur la liberté de la presse à le Caffè dei Giornalisti de Turin, la Maison des Journalistes était aussi à le vernissage de L’Exile qu’a été réalisée en Piazza Carlo Alberto à Turin du 5 avril au 5 mai 2013.
Ci-dessous les images [cliquez sur chaque photo pour l’agrandir] de la Journée de la liberté de la Presse 2011 : la cérémonie d’inauguration de l’exposition (3 mai 2011).
© 2011 Jean-François Deroubaix
A l’occasion de la 20e journée mondiale de la Liberté de la Presse, la MDJ renouvelle son appel aux dons en faveur des professionnels des médias qui ont pris le chemin de l’exil.
JOURNALISTES, VOS PAPIERS!
Un film de Laurène Lepeytre
Avant-première : vendredi 24 mai à 19h30 au cinéma Le Brady (39, Boulevard de Strasbourg, Paris – métro Strasbourg St Denis)
Résumé du film : « L’exil est une espèce de longue insomnie », écrivait Victor Hugo. En France, il y a des journalistes étrangers qui ne dorment plus, d’autres qui rêvent éveillés, d’autres encore qui se sont faits français. Tous, après obtention du statut de réfugié en France, ont commencé leur lente intégration dans un pays qu’ils n’avaient pas choisi. Peu de ces hommes et femmes de plume, de micro ou d’image sont encore journalistes. Beaucoup font des petits boulots alimentaires, et continuent d’exercer leur liberté d’expression en animant des blogs ou en écrivant pour la presse étrangère. Tous doivent se reconstruire, s’inventer une nouvelle vie en France et repenser leur identité.
Sélection Festival Ciné Droit Libre de Ouagadougou – Burkina Faso – juin 2013