Cliquez ci-dessous pour voir le reportage de Télématin diffusé le mercredi 9 septembre sur France 2.
« Olivia Schaller nous emmène dans un lieu unique au monde « la Maison Des Journalistes » qui depuis 2002 accueille et accompagne des journalistes réfugiés politique. »

Interview à :
Darline Cothière, directrice de la MDJ
Bassel Towil, photographe syrien
Mohmad Al Asbatt, journaliste soudanais

Philippe Trétiack présente son livre « De notre envoyé spécial »

[Propos recueillis par Abdoulaye Djibril SOW]

t5Rarissime, pendant longtemps seul rédacteur masculin du magazine féminin Elle, Architecte de formation, Philippe Trétiack est aussi journaliste-écrivain. Globe-trotter, il va à la rencontre des gens aux quatre coins du monde et livre ses observations dans ses ouvrages. Il a dédicacé ce 27 août son dernier ouvrage De notre envoyé spécial, à la Maison des journalistes. Entretien.

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Ce vendredi 24 juillet 2015 la MDJ a accueilli l’Institut Français, avec la présence de Denis PIETTON, son président, accompagné de son équipe guidée par M. David LASSERRE et de cinquante jeunes venus de 35 pays différents. Au programme, visite des lieux et de l’exposition « Alep point zéro » de photojournaliste syrien Muzaffar SALMAN.

Dans le cadre de la découverte de la Maison des journalistes et du projet « Génération Bilingue », les jeunes ont pu rencontrer puis échanger avec Nahed BADAWIA, journaliste réfugiée syrienne et Diane HAKIZIMANA, journaliste réfugiée burundaise.

Ci-dessous la galerie photo de Bassel TOWIL.

 
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agilkhalil« Mes soucis en Azerbaïdjan, le pays où je suis né, ont commencé en février 2008. J’étais alors jeune journaliste pour Azadliq, l’un des rares médias d’opposition du pays. Je commençais dans le métier. Un jour, quelqu’un m’appelle et m’avertit que des travaux débutent en plein cœur du parc Zeytunlug, l’un des derniers coins de verdure de la capitale Bakou. J’en fus horrifié. Mais j’étais alors loin de m’imaginer que j’étais sur le point de gâcher ma carrière et ma vie en Azerbaïdjan. J’étais loin de savoir que j’allais être condamné à mourir pour avoir écrit sur ce parc, qui devait en fait être transformé en une luxueuse résidence pour les plus secrets hommes de main du président et dictateur Ilham Aliyev. J’étais loin de savoir que je passerais le reste de ma vie en France.[…] »

Extrait de « Torture et coup de couteau : ma vie de journaliste en Azerbaïdjan », publié sur Vice.com, le 10 juillet 2015

Par Agil Khalil, propos rapportés par Quentin Müller

Pour continuer à lire l’histoire de Agil Khalil, journaliste d’origine azerbaïdjanaise, ancien résident de la Maison des journalistes, cliquez ici pour télécharger le papier

Cliquez ici pour lire l’article sur Vice.com 

 

Lebonbon.fr, Expo « Alep Point Zéro » à la Maison des journalistes, 18 août 2015 – par Olivia : http://www.lebonbon.fr/culture/expo-alep-point-zero-a-la-maison-des-journalistes/

Radius VL, « Muzaffar Salman nous a livré un superbe témoignage de son parcours de photojournaliste. Il nous raconte sa vie, son exil forcé et pourquoi il en est venu la photographie… » : http://www.radiovl.fr/muzaffar-salman-photojournaliste/

Al Hayat, 30 mai 2015 – par Rana ZEID « L’histoire de la caméra Alep de Muzaffar Salman : http://alhayat.com/Articles/9352360

  Alep Point Zéro. Muzaffar Salman   Une photo publiée par Olivier (@olirip_) le


Avvenire, 20 mai 2015 « Paris la tragédie de Alep en 15 peintures murales » – par Camille ELD : http://www.avvenire.it/Mondo/Pagine/Labbraccio-di-Parigi-ad-Aleppo-la-tragedia-in-15-gigantografie-.aspx

Arabic CNN, 18 mai 2015 « De Alep au coeur de Paris… Muzaffar Salman enregistre « Point zéro » sur « la conscience de l’humanité » : http://arabic.cnn.com/middleeast/2015/05/18/syria-conflict-exhibition-france Blog Philippe Rochot, 18 mai 2015 « Guerre en Syrie : la tendresse quand-même….. « Alep, Point Zéro » https://philrochot.wordpress.com/2015/05/18/guerre-en-syrie-la-tendresse-quand-meme-alep-point-zero-photos-de-muzaffar-salman-philippe-rochot/ B-Hop, 14 mai 2015 « La vie en dépit de la guerre dans les photos de Muzaffar Salman » – par Marta FALLANI http://www.b-hop.it/primo-piano/aleppo-punto-zero-istanti-di-vita-nelle-foto-di-muzaffar-salman/

Alaan.tv, 11 mai 2015, « «Point zéro» photographe de l’exposition de la Révolution syrienne dans les rues de Paris » – par Mohammad OMAR http://www.alaan.tv/news/world-news/130236/point-blank-photo-exhibition-syria-revolution-streets-paris

Al mustaqbal, 10 mai 2015 « Muzaffar Salman, rencontre surprenante avec des syriens ordinaires: exposition « Alep Point Zéro » » – par Rustum MAHMOUD : http://www.almustaqbal.com/v4/Article.aspx?Type=NP&ArticleID=660350

Rozana.fm, 8 mai 2015 « L’histoire de la résilience d’Alep dans l’exposition de lumière de Muzaffar Salman » – par Soulafa LABABIDI : http://rozana.fm/ar/node/12252

Al Arab, 8 mai 2015 « « Alep Point Zéro », scène de dévastation dans une exposition parisienne » – par Youssef HAJ AREF : http://www.alarab.co.uk/?id=51794

Al modon, 7 mai 2015, « Muzaffar Salman, « Point zéro », de Alep à Paris » – Par Mohammed SHABAN : http://www.almodon.com/culture/f1448ebd-a096-422b-9df2-2c1dd303cb86

soutraya.fm, 6 mai 2015: http://soutraya.fm/program_episode/مبادرات-وأجندة-6-5-2015/

Blog de Médiapart, 6 mai 2015, « La lumière passe à travers la fenêtre… les balles aussi. » – par la MDJ http://blogs.mediapart.fr/blog/maison-des-journalistes/060515/la-lumiere-passe-travers-la-fenetre-les-balles-aussi

demotix, 5 mai 2015 « Alep point zéro, exposition du photojournaliste Muzaffar Salman » – par Nesrine CHEIKH ALI http://www.demotix.com/news/7547097/aleppo-point-zero-photojournalism-exhibition-muzaffar-salman#media-7546597

source : https://www.facebook.com/lamaisondesjournalistes/

source : https://www.facebook.com/lamaisondesjournalistes/

 

Diane, journaliste burundaise en exil : « On ne m’a pas cousu la bouche »

Elle descend les escaliers quatre à quatre. Dans ses mains, du soda sans sucre et les restes d’un repas avalé en vitesse. « Désolée, je travaillais », nous glisset-elle pour expliquer son léger retard. Diane Hakizimana, 35 ans, ressemble à tous les autres journalistes de la planète. Elle mange sur le pouce et ne regarde jamais l’heure. Mais la comparaison s’arrête là. Car Diane, parce qu’elle a fait son travail, risque la mort si elle retourne dans son pays natal, le Burundi. […]

Interview parue sur Metronews édition Paris, le jeudi 2 juillet > par Anaïs Condomines

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dianehakizimana