photo00005Rencontre avec la journaliste Gulasal KAMOLOVA (Ouzbékistan) au Lycée Professionnel Charles de Gaulle de Paris (Île de France).

Cliquez ici pour lire l’article paru sur L’oeil de l’exilé, par Bernadette COLSON (18/01/2016)

Quelques retours des élèves participants à la rencontre :
«J’ai compris le risque du métier pour les journalistes. Ceci est vachement touchant. Ils n’ont pas mérite ça, ils se sont battus pour des bonnes choses et ils sont obligés de fuir parce qu’ils racontent la stricte vérité»
«Cela nous a appris qu’on a de la chance de vivre en paix et d’étudier en France car on a la liberté d’expression»
photo00003«J’aimerais dire aux journalistes exilés de ne pas craquer, de ne pas lâcher prise mais de garder cette magnifique volonté et rester forts car leur métier est indispensable. Je vous admire beaucoup et je vous souhaite tout le bonheur que vous méritez »
«C’est courageux de leur part de faire tout leur possible pour découvrir la vérité et en assumer les conséquences»
«Cela m’a permis de savoir ce que fait une journaliste et j’ai appris beaucoup de choses sur un nouveau pays et son histoire»
«Ce qui m’a frappé dans ce témoignage c’est qu’elle a ressenti, comment ça se passe dans son pays et comment le peuple ouzbek vit»
«La situation des journalistes en exil est compliquée, car c’est difficile de faire leur métier dans leur pays d’origine pour la cause démocratique»
«J’aimerais dire à Gulasal que je suis ravie de l’avoir rencontré, que je suis heureuse qu’elle est venue en France pour exercer son métier librement et que j’aimerais la revoir plus tard»

Ci-dessous la galerie photo :

La Maison des journalistes vous souhaite une heureuse année 2016 dans la joie, la solidarité et la paix
(Maison des journalistes, Rétrospective 2015)

Le Conseil d’administration de la Maison des journalistes a été renouvelé, à l’occasion de l’assemblée générale tenue le 6 janvier 2016 dans les locaux de l’association.
Ci-dessous les membres du CA (cliquez sur la photo pour l’agrandir) :
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dianehaRencontre avec la journaliste Diane HAKIZIMANA (Burundi) au Lycée Alain de Alençon (Caen / Normandie), le vendredi 18 décembre.

Cliquez ici pour télécharger l’article paru sur Tendance Ouest, le 18 décembre.

(Pour écouter les interview audio, cliquez ici)

Cliquez ici pour télécharger l’article paru sur Ouest France, le 18 décembre.

Ci-dessous des retours des élèves qui ont participé à la rencontre :

« Ce qui m’a frappé, c’est les violences que certaines personnes font à d’autres, ça fait un peu penser à la seconde guerre mondiale avec les nazis qui martyrisaient les juifs mais dans un pays plus petit »

« Pour moi, les journalistes aujourd’hui nous aident à comprendre la société, car ils n’existaient pas, personne ne serait au courant de ce qui se passe à l’autre bout du monde ».

« La liberté de la presse permet de ne pas laisser la propagande dans un pays et d’éviter l’instauration d’une dictature, d’une tyrannie ».

« J’aimerais dire à Diane Hakizimana et à tous les journalistes en exil que le plus important c’est de rester fort face à ces personnes qui ruinent la vie d’un pays et de continuer à dire la vérité tout en faisant attention à sa vie et à celle des autres ».

« Le témoignage de Diane m’a beaucoup touché, en particulier certaines situations vécues par la journaliste, parfois choquantes…On ne peut pas imaginer que des milliers de personnes vivent dans la peur et la torture ».

« Le rôle du journaliste est d’informer le reste de la population de ce qui se passe dans le monde tout en gardant ses valeurs à l’esprit ».

« La liberté de la presse est importante car elle permet de dénoncer, elle est une des plus grandes valeurs de la démocratie ».

 

inter treizeLe reportage sur la Maison des journalistes diffusé dans les 13 heures de France Inter du 29 décembre 2015.
Par Hodane Hagi Ali.

Interviews à Bahram Rashwangar (Afghanistan) et Yvette Murekasabe (Burundi).

Pour écouter le podcast, cliquez ici.